Au boulot

Aujourd'hui au taff, j'ai craqué complet. Suite à un différent pro, pendant un call avec un collègue qui s'occupe du relai avec les chefs, pour lui demander un point pour en parler, je me suis mis à avoir le souffle court, et j'ai finir par chialer comme un con . Dans le bureau . Heureusement j'étais seul, avec quand même le chef d'une autre équipe qui m'a vu a l'autre vu de la pièce.

Une certaine façon j'aime mon taff. C'est pas le truc le plus excitant, mais j'aime la technique informatique, et le contact client ne me dérange pas .

Aujourd'hui j'ai avancé sur un sujet d'analyse d'une plateforme qu'on a installé récemment et qui remonte des erreurs depuis la mise en prod. 

Ai eu affaire a en enchaînement de situation qui m'ont fait cette effet, que j'ai pas su contrôler.

La pression d'un sujet épineux, ou tous le monde a claqué des fesses sur un "on a reçu un courrier en recommandé avec son avocat dans la boucle, pour une plateforme qui ne vaut rien d'un mec qui n'y connait que dalle et qui sait juste nous casser les couilles . Un premier collègue à qui rendre des comptes : "Sur ce coup là, je suis contre le client, et contre la boîte, qui a fait de la merde sur le projet" . Puis le suivant, technique, sensé être d'une plus grande expérience que moi, qui n'a su que le retoqué le copier coller de son chef qui expliquait qu'il ne devait pas répondre au client a se sujet . Et qui a continué se jeu là pendant 10 bonnes minutes quand je lui explique la situation . J'ai eu beau aller fumer a plein poumon, j'ai failli. 

J'essai d'y repenser ce soir, et je crois que c'est cette absence de volonté collective, ce manque d'humain, cet ambiance ou chaque retour était sur la défensive, qui m'a brisé. La réalité du taff je l'a connais. Je sais comment peut être un client de mauvaise foi qui va juste chercher les prétextes a jouer sur son contrat et traité le service rendu, surtout par un support , comme de la merde . Mais je ne pensais pas que la pression puisse venir de mes collègues. Et quand je reçois la scène, je ne sais pas si je vois mon avenir professionnel dont la réussite de devenir un con.